Changement complet de style, sans le savoir au hasard je suis passée du coq à l’âne (j’ai découvert sur google que cette expression n’était qu’une histoire de fesse dans le poulailler et le choix du coq pour une cane) enfin revenons à nos moutons pas de cop ni d’âne mais deux auteurs complètement différents. D’ailleurs je ne sais pas comment décrire le style De Stéphane Belaïsch, cool, nature, sont les mots qui me viennent, sans doute rien à inscrire dans un programme scolaire mais j’ai passé un bon moment avec des passages qui m’ont fait rire même si ce livre est sans prétention.
Max la trentaine, pas encore fixé dans sa vie d’adulte a décidé de s’installer à tel Aviv. Il se laisse vivre et collectionne les petites amies et les bons plans d’hébergement gratuit.
En suivant ce parcours un peu fou, on découvre la vie en Israël, ce pays ou la religion, la mort et la frivolité se côtoient.
« Pour les religieux, le mode d’emploi de la vie existe il s’appelle La Torah. Un problème ? Une question ?pas de souci, la Torah c’est google avant l’heure. Toutes les réponses y figurent quelque part.
Et si dieu n’existait pas ? On fait comme s’il existait, et on continue tout normalement, l’homme a trop besoin de croire en quelque chose. »
« Ouais. Le chien il sait pas se projeter dans le futur. Le chien il sait pas ce que ça veut dire « après » ou « tout à l’heure », encore moins « qu’est ce que tu feras quand tu seras grand ? » il vit dans le présent.
Un de plus dans la collection des premiers romans